Je l’ai pris dans mes mains, appréciant la douceur irrésistible de son silicone. Après avoir appliqué généreusement un lubrifiant à base d’eau pour une insertion confortable, j’ai commencé doucement. Ses 11 cm insérables me laissaient le temps de savourer chaque instant, chaque centimètre, alors que je m’habituais à sa présence en moi.
C’est là que le vrai plaisir a commencé. Grâce à sa télécommande, j’ai pris le contrôle des 7 modes de vibrations et des 3 niveaux d’intensité. J’ai commencé par le premier mode, une vibration douce qui m’a fait frémir, comme une promesse d’un plaisir grandissant. Puis, curieuse et avide d’intensité, j’ai augmenté progressivement les vibrations. Les pulsations se sont intensifiées, éveillant chaque nerf sensible, m’emportant doucement vers des sommets de plaisir.
Mais ce n’était pas tout. J’ai pris une grande inspiration et enclenché la fonction gonflable. Lentement, le Fatball s’est ajusté, sa largeur passant de 3,5 cm jusqu’à une amplitude de 7,8 cm. La sensation de dilatation et de plénitude m’a submergée, me laissant totalement envahie par le mélange des vibrations et de la pression croissante. J’avais l’impression de ne plus rien contrôler, sauf les rythmes que j’imposais grâce à la télécommande.
Les minutes s’étiraient dans une extase totale, chaque pulsation amplifiant la pression délicieuse du gonflage. J’explorais chaque mode, chaque intensité, incapable de m’arrêter tant l’expérience était enivrante. Le Fatball savait exactement comment jouer avec mon plaisir, me laissant le souffle coupé à chaque montée.
Une fois l'orgamse atteint, je me suis allongée, le cœur battant encore fort, avec ce sourire satisfait que seul un plaisir parfaitement maîtrisé peut offrir. J’ai soigneusement nettoyé le Plug Fatball, respectant mon petit rituel, puis l’ai rangé dans un endroit discret, sec et propre, déjà impatiente de renouveler l’expérience.